le Weblog de Tanguy

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Dimanche, 20 août 2017

To Rome with love ( Woody Allen, 2012 )

J’ai revu ce film en dvd. (Bizarre, je suis sûr de l’avoir vu au ciné mais visiblement j’avais omis de faire un billet sur ce blog). Bien plaisant tout ça, avec des bonnes idées.

Samedi, 12 septembre 2015

Les innocents ( Jack Clayton, 1961 )

J’ai découvert l’existence de ce film récemment. Je croyais qu’en dehors d’une poignée de téléfilms, il n’existait pas d’adaptation du “Tour d’écrou” d’Henry James (roman que j’aime beaucoup. Je l’avais découvert au collège et il m’avait fait une très forte impression). Pour ce que je m’en rappelle, - ma dernière lecture remontant à quelques années, quand même - l’adaptation est très fidèle. La réalisation est sobre mais efficace. Bref, une bonne surprise. La mauvaise nouvelle, c’est que je ne crois pas qu’il en existe une édition dvd en France, j’ai dû me procurer une copie anglaise pour le voir.

Vendredi, 27 janvier 2012

Millenium ( Niels Arden Oplev, 2009 )

Vu avant-hier soir. C’est la première adaptation du roman policier suédois, premier de la série. Roman que j’avais trouvé correct mais sans plus, soit dit en passant (j’ai du mal à comprendre pourquoi on en a fait tout un foin). J’ai bien aimé l’adaptation, c’est relativement efficace et colle à l’histoire d’origine.

Jeudi, 23 septembre 2010

House by the river ( Fritz Lang, 1950 )

J'avais vu ce film il y a très longtemps, peut être 15 ou 20 ans, ce qui fait que je ne me rappelais que vaguement de l'intrigue. Je me suis procuré le dvd à la Rnac, puisque c'est le seul endroit où on trouve cette collection désormais. Le film est excellent, tout comme le pressage dvd qui a une image excellente (avec un noir et blanc magnifique, très contrasté). Le film est un très bon Lang, à voir d'urgence pour ceux qui ne connaitraient pas.

Desperate ( Anthony Mann, 1947 )

J'ai loué le dvd de cet excellent polar produit par la RKO. Il est redoutablement efficace, avec une fin dans laquelle la photo est particulièrement bien maitrisée (notamment une excellente scène qui se déroule dans un escalier et qui tire parti à la perfection du décor). Un must du film noir.

Mercredi, 8 septembre 2010

The Killers ( Robert Siodmak, 1946 )

Je n'avais jamais vu de film de Siodmak, honte à moi. Je me suis procuré l'édition anglaise de ce film, en dvd, et je dois dire que je ne suis pas déçu du voyage. La distribution est excellente (Burt Lancaster, la superbe Ava Gardner en femme fatale, Edmond O'Brien), l'ambiance digne des meilleurs films noirs. Sans problème un des must du genre.

Mardi, 20 juillet 2010

The bigamist ( Ida Lupino, 1953 )

En même temps que D.O.A., j'ai acheté ce film d'Ida Lupino que j'attendais de voir depuis longtemps. (J'aime beaucoup Ida Lupino, elle est excellente en tant qu'actrice - voir On dangerous ground, par exemple- ou réalisatrice ( The Hitch-Hiker)). Ici point de film noir, mais un très bon drame social. L'image est superbe sur ce film-ci.

D.O.A. ( Rudolph Maté, 1950 )

Wild Side réédite des films tombés dans le domaine public, dans des versions restaurées. Entre autres, ce très bon film noir, largement supérieur au remake des années 80s que j'avais eu l'occasion de voir il y a quelques temps. La qualité de la restauration est très variable selon les scènes.

Mercredi, 7 juillet 2010

Les contes de la lune vague après la pluie ( Kenji Mizoguchi, 1953 )

Ce film est tout bonnement superbe - je ne m'en lasse pas. Il est adapté des "contes de pluie et de lune" d'Akinari Ueda, un recueil de nouvelles - chacune d'entre elles illustrant un aspect des fantômes japonais (Dans le folklore japonais, les nuits pluvieuses sont propices aux manifestations surnaturelles). Mizoguchi, dans le scénario de son film, a rajouté un fil conducteur entre deux ou trois de ces contes. Le résultat est un petit bijou... À découvrir d'urgence pour ceux qui ne connaitraient pas, et à revoir pour les autres ;)

Mardi, 22 juin 2010

A scene at the sea ( Takeshi Kitano, 1991 )

J'avais vu ce film au cinéma il y a une dizaine d'années ; il s'agit du troisième long métrage de Kitano, après Violent Cop et Jugatsu. Il y rompait donc avec ses films de yakuza assez noirs et violents, pour aborder la comédie dramatique avec son style si particulier. J'aime beaucoup ce film, avec ses personnages attachants, ses scènes de surf quasi absentes (alors que c'est quand même un peu le fil conducteur du scénario), et ses seconds rôles qui font sourire. Une petite perle. Je me suis procuré l'édition anglaise, qui vaut le coup à mon avis (pas de sous titres français cependant).

Mercredi, 2 juin 2010

Vertigo ( Alfred Hitchcock, 1958 )

Il s'agit, je crois, du premier Hitchcock que j'ai jamais vu, et il reste pour l'instant dans mes préférés. Les deux parties qui le composent pourraient presque composer chacune un long métrage, tant la narration rend l'intrigue passionnante. Inutile de ressasser des lieux communs sur l'utilisation combinée du traveling arrière/zoom avant ou sur l'utilisation des effets de lumière (dans le rêve par exemple), tout semble génial dans ce film ;) . Après avoir revu le film, j'ai fait quelques recherches et j'ai retrouvé ce lien, ou on revient sur les lieux de San Francisco 45 ans après.

Dimanche, 30 mai 2010

The House on Telegraph Hill ( Robert Wise, 1951 )

Quel choc ! D'habitude je trouve les films de Wise un peu moyens (au vrai sens du terme, corrects sans être excellents) mais ce film-ci sort vraiment du lot. Le début est très classique, sans surprise, pour aller progressivement vers un thriller haletant. La fin, même si elle est un peu convenue, est prticulièrement prenante. Je n'ai pas pu m'empêcher de penser à certains grands Hitchcock («Rebecca» et «Suspicion», bien sûr). Un film noir à voir !

Jeudi, 18 février 2010

Erik le viking ( Terry Jones, 1989 )

Un film réalisé par l'ex Monty Python Terry Jones, avec aussi John Cleese. Ce n'est pas une nouveauté, mais je ne l'avais pas encore vu. Ce n'est pas mal du tout, j'ai bien rigolé. On retrouve un peu de délire Monty Pythonesque là dedans. À découvrir si ce n'est déjà fait, et je pense que ça doit bien se re-savourer avec plaisir...

Mercredi, 10 février 2010

The glass key ( S. Heisler, 1942 )

Je viens seulement de découvrir ce film (et oui, chacun a ses lacunes). Ce n'est certainement pas le meilleur film noir que j'ai vu jusqu'à maintenant, mais il est tout de même de bonne facture. L'ambiance est particulièrement soignée et on retrouve les éléments habituels du genre.
J'ai acheté le dvd sur un site anglais, dans une édition comprenant les sous-titres anglais (donc correcte) et proposant une qualité d'image tout à fait décente ; je ne sais pas ce que vaut l'édition française.

Mercredi, 20 janvier 2010

Terre lointaine ( «Terra estrangeira», Walter Salles & Daniela Thomas, 1996 )

Je me suis offert le coffret Walter Salles que TF1 video vient de sortir. (En fait il s'agit juste de rééditions de 3 films empaquetés dans un coffret : Terre lointaine, carnets de voyage et une famille bresilienne).
J'ai acheté le coffret rien que pour ce très beau film que j'avais vu à l'époque au cinéma. Tourné dans un noir et blanc superbe, le film, quelque part entre le drame et le polar, est relativement dense au niveau narratif, sans pour autant oublier de s'attacher aux personnages. Un long métrage qui mériterait à mon avis d'être un peu plus connu.

edit : je viens de trouver une bande annonce sur youtube, je la mets ici :

Lundi, 4 janvier 2010

Coffret Richard Fleischer

Je viens de finir de regarder ce coffret que je m'étais offert pour mon anniversaire. Il contient trois moyens métrages de Fleischer produits par la RKO : Deux polars, «The narrow margin» (1952), «Armored car robbery» (1950) - un polar qui fait dans le court efficace, et un drame, «Child of divorce» (1946). Ce drame sur l'éclatement de la famille est intéressant ; on notera l'excellente performance d'actrice de Sharyn Moffett.

Lundi, 28 décembre 2009

La maison dans l'ombre ( «On dangerous ground», Nicholas Ray, 1952 )

C'est avec beaucoup de plaisir que je viens de revoir cet excellent film noir de N. Ray. La dimension psychologique du film donne aux personnages une épaisseur assez peu commune dans le genre. Les personnages joués par Robert Ryan et Ida Lupino sont particulièrement intéressants. Une réussite. Il me le fallait vraiment dans ma dvdhèque, celui là ;)

Vendredi, 27 novembre 2009

Le port de l'angoisse ( «To have and have not», Howard Hawks, 1944 )

re-re-revu hier soir. J'avais un avis un peu mitigé sur ce film. D'accord, ce n'est pas le meilleur de Hawks (il vaut mieux se repasser «the big sleep», à mon avis), mais en le revoyant je me disais que ce n'était pas si mal que ça... Il s'agit aussi de la première rencontre à l'écran entre Bogart et Bacall. Apparemment ce serait bien elle qui chante sur les chansons du film (il y en a quelques unes ; visiblement à l'époque c'était fréquent, les chansons dans les films ?). Ça se laisse bien regarder, finalement
La bande annonce est visible ici.

Mercredi, 25 novembre 2009

Deux films de R. Fleischer : «Bodyguard» et «The clay pigeon»

Je viens de louer deux films de Richard Fleischer produits par la RKO. Tout d'abord «Le pigeon d'argile» (the clay pigeon, 1949). S'il n'est pas un film policier exceptionnel, il est tout de même très divertissant. Le deuxième film, «Bodyguard» (1948), est plus réjouissant, plus rythmé, avec en plus un humour en coin qui ne me déplait pas, pas plus d'ailleurs que la présence de Priscilla Lane dans le casting. Les films ont en commun une durée très courte, autour d'une heure - je présume qu'ils ont du être exploités comme films B à l'époque. Ce réalisateur remonte à toute vitesse dans mon estime, je pense qu'il va falloir que je creuse un peu sa filmographie.

Vendredi, 30 octobre 2009

Mystery Street ( J. Sturges, 1950 )

On peut trouver ce film policier un peu méconnu sur le dvd zone 1 de «Act of Violence». Je l'ai découvert hier soir. Il est à mon avis excellent, c'est une très bonne surprise. Le scénario est intéressant, l'enquête semble faire lamentablement fausse route pendant la première partie du film. «Mystery Street» est bien rythmé, le spectateur est rapidement accroché par l'histoire, et ce dès les premières scènes.

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